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Cheminement rue de Paris avant la rénovation 4
de la rue Gabriel Bertin, là où nous nous étions arrêtés lors de la 1ʳᵉ étape
par le groupe enseignement

Puis, l'épicerie EGE tenue par Mme et Mr Rousseau. Ils s'installeront aussi sous les arcades après la rénovation. ils assuraient un service de livraison à domicile.

L'auberge du cheval rouge, ancien relais de poste, auberge et hôtel dont la grande salle devint le premier cinéma de Franconville. Mr Pierre Dezert en assurait la projection. Nous pouvions y écouter les actualités et repartir en douce, ce que faisaient certains voisins; L'un d'entre eux, spectateur assidu venait même en pantoufles !

Puis, venait une petite échoppe qui abritait un petit génie du bricolage, un réparateur de vélos.

Les bennes François, à l'emplacement d'un ancien château.

Plus loin, nous retrouvons la famille Desgennetais, le charron Honoré et sa femme Paulette. C'est un des frères de René le forgeron, maréchal ferrant. Un cadran solaire ornait la façade de la forge. Nous traversons la rue des Onze Arpents, vient ensuite l'entreprise de mécanique générale Pujole qui fabriquait notamment des pièces pour Fenwick.

Puis, le garage Quincy concessionnaire Simca.

A côté, l'hôtel restaurant chez Chambrenois où les cultivateurs fêtaient traditionnellement, lors de leur banquet annuel, la saint Vincent, patron des vignerons.

Sous la mandature du docteur Blondé médecin, le dernier banquet de la saint Vincent s'est tenu en 1960. Ce Maire, non issu , comme beaucoup de ses prédécesseurs du monde agricole fût  la prémisse de la transformation totale de Franconville de son ancienne ruralité vers la modernisme nécessaire des années 60.

Une des trois fermes de Franconville, la ferme de la côte Saint Marc où Mme et Mr Gyessens distribuaient le lait frais de la dernière traite que nous allions chercher fièrement dans la boite à lait familiale. Cette ferme était encore présente en 1968. Il n'était pas rare de trouver garer sur le parking de la supérette Nova son tracteur.

Plus haut, le Feu à l'âtre, ancienne ferme transformée en restaurant typique dans les années 60. C'était un peu la campagne à la ville, on y servait des plats roboratifs mais raffinés. 

Enfin, deux entreprise, Atlas Copco, industrie de compresseurs suédoise installée depuis 1947, qui a fermée le 31 décembre 2000 et une tuilerie.